Izet Sarajlic, Nés en vingt-trois, morts en quarante deux
J’ai trop peu joui des averses printanièreset des couchers de soleil. Je me suis trop peu délecté de la beauté des chants ancienset des promenades au clair de lune. Je me suis trop peu enivré du vin de l’amitiébien que sur terre il n’y ait de paysoù je n’ai compté