Françoise Coulmin
De ce qui fut Pendant les heures entières de l’exilavant que les souffles ne se figentloin de l’immédiate portée des fureurssur les crêtes des mersdans les amers des cavernescapter le murmure de l’absenceEt dans la perception juste et patientedes Magnifiques et des Sans-Droitspour ne rien oublierde ce qui futconsentirà la