Syntaxe d’après la perte
Le poème pour qui parle-t-il ? Ainsi demandent méprisants les affairés du siècle les stériles du pourcentage et de la Banque Je dis Dans la suffocation des bouches il parla Dans la dislocation des corps il parla Et jusque dans l’atroce – tout air empoisonné de suie de femmes et