Paul Bergèse, C’est un peu comme si tu venais chez moi

Paul Bergèse, C’est un peu comme si tu venais chez moi

Si dans le vent qui te bouscule

tu entendais chanter le jour

Si dans la pluie qui te chahute

tu entendais rire le jour

Si dans le froid qui te resserre

tu entendais frémir le jour,

Ouvre à deux battants

ta fenêtre,

ouvre tes bras,

ouvre ton cœur,

c’est l’oiseau fou qui te répète

la chanson des petits bonheurs.

Paul Bergèse
C’est un peu comme si tu venais chez moi
Éditions Soc et Foc, 2001

Écoutons Marion nous lire ce poème…

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